Ancien trombinoscope

(Ils sont passés par ici... On les retrouvera par là...)

Abdel (Coach) : le seul, l’unique président de La Foulée, athlète de niveau national et membre de l’équipe de France, il est  éducateur sportif à Vedène. Il aime tous les sports en général, en plus de la course à pieds évidemment, la musique (tous les styles), la Nature, il suit l’actualité attentivement. Autre point intéressant, il vous évitera de prendre un walkman si vous vous entraînez avec lui. Comme il court très vite, on va arrêter là les taquineries pour l’instant.

Phil (Saltimbank) : secrétaire de la Foulée, il est également éducateur sportif à Vedène. Ses passions : la course à pieds, le triathlon (même si ça n’est pas réciproque). Accessoirement, il mène parallèlement une carrière de rock'roll star, puisqu’on l’aurait surpris en train d’essayer de jouer de la guitare avec une bande de copains à lui qui aiment se faire appeler Gotham et qui écument les caves abandonnées du Grand Avignon.

Son but avoué à la Foulée est en fait de reconstituer son fan club de groupies d’où son intérêt pour les féminines.

Chris(tophe) : directeur commercial (il en faut, soyez sympa), ses passions sont la course à pieds, le cyclisme (sur route, VTT moins, trop de cailloux tout ça…) et le triathlon (encore un). Il arrive la plupart du temps à faire oublier ses origines bûcheronnes mais un discret accent ardennais le trahit souvent. Possède le sens de l’humour qui va avec, donc méfiance !

Dernière minute : contrairement aux rumeurs stupides qui couraient sur son compte, Christophe ne serait pas ardennais mais lorrain, ce qui vu d’ici, n’a effectivement rien à voir, tout le monde est bien d’accord !!!

Laurence : 29 ans, elle court avec la Foulée depuis trois années maintenant et a accompli de ce fait des progrès étonnants eu égard à une constitution physique déplorable qui lui permet de battre le saltimbanque haut la main au concours de celui qui pleurniche le plus fort, et pourtant c'était pas facile !!!

(Partie faire une p'tit tour du coté de St Sat)

Marc (Le patron 2006) : Sa régularité à l'entraînement lui a permis de progresser lui aussi à toute blinde depuis deux saisons et il affiche maintenant fièrement ses chronos au lieu de courir sous des pseudonymes, comme il n'y a pas si longtemps. S'essaie également à finir ses séries à fond, histoire de voir. Le bien bien long l'attire et il tient de temps à autre compagnie au Narnard.

Cathie : débauchée des Mille Pattes, elle a voulu venir à Vedène pour des raisons obscures que je ne désespère pas d’élucider. Depuis qu’elle a entendu parler Abdel, elle reparle de repartir au Pontet

(Partie faire un p'tit tour du coté de Rochefort du Gard)

Nadia : elle change de couleur tous les quinze jours, elle est donc assez facile à repérer. Son Patrick de mari l'accompagne en général, quoiqu'assez irrégulièrement. Les malheureux sont affligés d'une progéniture déplorable qui vient de temps en temps prendre l'air à la Calade.

Vincent (Buldoz) : il a battu Pantani aux échecs et fait péter Kasparov dans une bosse. Scotché à vélo dès que la pente dépasse les 0,5 %, son objectif est de mettre 1 minute à Philippe quelle que soit la distance (facile !)

(Partie faire un p'tit tour du coté de Rochefort du Gard)

Jipé (de son nom de scène) : kayakiste forcené, instit amateur de jaja, (ce qui un pléonasme, en fait !), finisher de Marvejols-Mende 2003, ardent supporter sur le tour de Vaucluse 2003. Habitant à Lagnes, il vient courir à Vedène, chapeau !
Laurent : frère de Nadia, de plus en plus léger au fil des saisons.Adepte invétéré de la blagounette, il a trouvé en Patrick un complice dans ce domaine, mais toujours correc', quoique. Le renouveau en cours de la Tribune Libre (voir menu) lui doit beaucoup.
Sylvie : femme d’Abdel. On a un peu discuté, on est tous très, très compatissants au club. Courage ! Si on peut faire quelque chose...
Nathalie : il aura fallu l’intervention du chef pour la convaincre de figurer sur cette page. Voilà. Maintenant qu’on a gagné, on va procéder par étapes. De toute façon, je marquerai ce que je veux quand je voudrai, c’est tout. Que ça soit clair.
Sandrine : ceux qui ont eu l’oreille indiscrète vendredi 9 mai ont pu entendre le coach essayer de la convaincre que courir quand on avait mal quelque part, c’était pas la super bonne idée. Peu après cette conversation, Abdel essayait de réorienter sa carrière vers la vente sauvage d’un lot de survêts est-allemands (voir photos apéro). Coïncidence ?
Patrick : depuis le temps que j’oublie de le prendre en photo, cette fois ça y est. Triathlète un jour, triathlète toujours. J’attends la fiche de sa petite femme pour plus de précisions, ça s’annonce chaud. Allégé de quelques grammes en 2004 pour échapper au Marseille Cassis, c’est petit joueur ça. Voir le commentaire de sa chère et tendre plus haut.
Gil : un instit vedénais de plus, un mâle cette fois, c’est mieux, tout baigne. Très photogénique par ailleurs, même pour un footeux. Passe ses footing à papoter derrière avec Abdel, c’est bien, comme ça, le chef, ça l’occupe, il nous lâche la grappe.
Françoise (La gazelle) : de plus en plus véloce, elle participe de toute sa bonne volonté (et c'est vrai qu'il en faut) à la vie du club en ramenant les infos sur les courses sympa,... Extrêmement susceptible, on veillera donc à ne pas la froisser ici, surtout que lancer des ragôts, comme cette vieille histoire de détournement de fonds pour la mairie de Vedène, ça n'est pas notre genre. Surtout que depuis, elle a payé sa dette à la société et que s'apesantir sur le sujet serait malvenu.
Jérôme : un candidat de poids pour faire péter le gros Philou sur les courses, c’est bien ça, les séances d’entraînement commencent à décrasser, parce que c’est pas avec Abdel en ce moment qu’on peut espérer faire quelque chose. De plus en plus véloce au fur à mesure des saisons, il a défié le coach sur marathon à Paris en 2006, ça va être un vrai concours de ballon, cette course, avec le nombre de participants qui partent d'ici, entre la Foulée et le club (ami, grâce à Lionel Chlak.) de Villeneuve!!!
Lionel : il tavai laissé sa dame en Haute-Savoie pour venir utiliser ses globules dans la plaine. C’est vrai qu’il y a moins de neige pour galoper l’hiver par ici. Très régulier et motivé, ses résultats en hausse sont là pour le récompenser. Fera partie, comme chaque année du wagon de touristes qui économisent toute l'année pour faire la tournée des boîtes le samedi soir à Paris en avril, en prétextant le marathon du dimanche matin. Il vont finir par avoir du mal à expliquer à leur femme pourquoi ils passent à travers chaque année.
Patrick D: il ne sait pas dire non paraît-il, ce qui peut s’avérer très dangereux dans un environnement où rode Phil, mais il l’apprendra bien assez tôt. À ne pas rater, la petite séance de blagounettes du vendredi pendant les étirements, très soft bien sûr, on sait se tenir, surtout celle de la porte des chiottes, m’enfin... avec Laurent, frère de Nadia, je sens que ça va donner, rectification, ça donne.
Françoise (La tortue) : après les maisons de maçon, voici la femme de. Receleur de Francoise pour le gros matériel de chantier, un peu sponsor du club (pour combien de temps, maintenant ?) quand même, donc, comme pour karaté-kid', on ne chambre que modérément et toujours correc', comme d'hab'.
Cyrielle : elle a tâté du triathlon et a dignement représenté la Foulée à Aubagne en 2004, malgré les recommandations de sa mère qui voulait la garder à la maison pour lui servir de prétexte. Devant son acharnement, celle-ci aura finalement gardé auprès d'elle son fils Pierrick. Bravo ! Heureusement, Abdel lui prépare des plans d'entraînements différents de ceux de sa mère.
Avec Laurent (Nain jaune), le club touche le fond en ce qui concerne le recrutement. Grotesque en natation, pitoyable à vélo et ridicule en course à pieds (surtout pour le finish), il s'est essayé au triathlon en espérant que ça ne pourrait pas être pire. Il avait tort. Quand on sait qu'il vient du treize, on comprend mieux certaines choses. Mal syndiqué de surcroît. Surnommé Luciole Véloce dès que la nuit tombe sur la Calade en hiver, le Nain Jaune le reste du temps.
Kévin : l'année dernière, j'avais pu le prendre en photo, cette fois, rien à faire, aussi pénible que sa soeur l'an dernier. Pas bon, comme évolution ça. Comme tout triathlète qui se respecte, affectionne le fluo, en ce moment, le jaune. Adepte pénible avec son Tonton du moins vingt pour cent sur les séries. Feignasse de triathlète quoi.
Eric : père malheureux de la précédemment décrite progéniture, il fait confiance pour consulter le site et internet en général. Bien, profitons-en donc. Egalement triathlète à ses heures perdues, donc quelqu'un de parfaitement infréquentable. Après Laurent M. (surnommé Luciole Véloce donc),Pat Monj (dit l'écart-qui-tue), ils se multiplient au sein du club. Je garde ici encore mes précédents commentaires, toujours malheureusement d'actualité. On aura compris cette année que le Nain Jaune et les Sorguais n'étaient que des éclaireurs, la suite de la perfusion de triathlètes au club ne faisait hélas que commencer.
Yves : dans la série Famille, je voudrais le tonton. Beaucoup trop rapide à pied et à vélo pour être fréquentable, il a au moins l'avantage de mettre un peu la pression à Jé sur la Calade. Pour l'instant le saltimbanque est aux fraises, ce qui reste logique vu son grand âge. Infréquentable également à VTT, ce qui est assez rare chez un triathlète pour être souligné, le Nain Jaune nous ayant habitué à du bien grotesque dans ce domaine.
Sandra : dans la série famille, je voudrais la tata. Egalement bêtement sympathique tout comme son loulou. Trop rapide aussi d'ailleurs. Court souvent derrière sa poussette. Quand on dit qu'à force de fréquenter Laurent, ça esquinte.
Anouche : notre conversation n'étant pas sans doute de son goût, Sandra a finalement préférer traîner aux entraînements sa topine de papotage habituelle. Pour être triathlète, on n'en reste pas moins pépette, les hormones sont bien là. Ça rassure un peu quand même, parce quand on voit à quelle allure tout ça se déplace, on pourrait être en droit de se faire du souci.
Cyril : accompagnateur agrée de la ci-précédemment et brièvement décrite, il est également un adepte décérébré des pneus sales à crampons, un candidat de plus donc pour les vétathlons de l'automne.
Eric : un triathlète de plus arrivé dans l'intersaison et qui nous met(tai) la pression sur la Calade, ça commence à devenir une mauvaise habitude. On trottinait tranquilles nous avant, on faisait les malins devant les rugbymen qui faisaient la ronde et bon. Terminé, il va falloir assurer un minimum. Adepte en plus des raids, des trails, du VTT plutôt en rando. Accompagné au club de sa pépette personnelle (voir ci-dessous), on n'est jamais trop prévoyant.... Abonné à l'infirmerie, pour l'instant, nous lui souhaitons plein de courage
Gweeeeeeeeeeeeen : elle court, plutôt dans la nature et sur du long. Facile à repérer : on notera le torchon sur la tête. Equipée d'un genou en carton-pâte qui la pénalise un peu quand même, elle n'hésite pas malgré tout à accompagner son kiki sur les raids sans crainte de la fatigue et à VTT sans crainte du ridicule, un peu comme Sandra, oui. D'ailleurs elles sont topines.
Vivien : un cycliste-vététis'-raider multicasquette de plus au club, traîné dans le sillage de Fanny. Entre les triathlètes et les crampons sales décérébrés, le club évolue mal, moi je vous le dis.
Didier (l'escargot) : surnommé (mais c'est de moins en moins d'actualité vu ses progrès fulgurants, comme quoi la régularité, ça paye) l'Escargot, il s'est porté volontaire pour s'occuper du site avec moi. Extrêmement motivé et compétent, soit dit en passant. C'est bien, ça, en cas de problème, vous verrez donc ça avec lui, parce les commentaires déplacés et les remarques désobligeantes, c'est pas mon truc, déjà que l'ambiance du club, avec la nuée de triathlètes qui s'est abattue dessus cette année,...
Joseph : au club depuis deux saisosns maintenant et malentendant, sa petite femme s'accompagne souvent sur le stade. Toujours pas de ragots sur son compte, trop discret cet homme là !!! Depuis que Vivien est au club, a enfin quelqu'un avec qui discuter !!!
Fanny : il fallait malheureusement s'y attendre : la licence Ufolep étant multisport, il fallait craindre l'irruption de pratiquants d'autres disciplines. Dans le sillage de Lionel B., voici donc encore une adepte décérébrée des pneus sales à crampons qui tente de contaminer un club décidément de moins en moins fréquentable. Issue par ailleurs, comme le précédemment évoqué, du club ami (pour combien de temps s'ils continuent à tracer leurs parcours comme ils s'entêtent à le faire ?) des Crapauds de Gigo qui écument la colline de Gigognan (d'où le nom, Didier : Gigo, c'est le début de Gigognan tu vois). NB : je sais c'est un peu lourd mais bon, soyez sympa pour lui, il fait des efforts d'intégration.
Audrey : mes plus plates excuses pour avoir omis de l'inclure dans ces pages. L'oubli est désormais réparé, encore désolé d'autant plus que la pauvre n'a pas besoin de ça, la vie ne l'ayant pas épargnée si on s'en réfère à son hérédité chargée. Laquelle hérédité sera d'ailleurs le bienvenu de me faire parvenir ragots et autre billevesées, histoire de se moquer (mais pas les habits !), c'est toujours un plaisir, surtout à cet âge, en général, ils ne sont absolument pas susceptibles.
Alain : Doté d'une constitution fragile et incertaine qui le prive des plaisirs de la course à pied, c'est sur le conseil du saltimbanque qu'Alain s'est orienté (quand on connaît Phil, c'est une façon de parler) vers le VTT. Heureusement bridé pour l'instant par une condition physique déplorable que des années en maternelle n'ont pas arrangée, il semble doté de capacités redoutables en descente où son neurone-et-demi lui est d'un grand secours pour l'aider à ne pas réfléchir aux conséquences fâcheuses d'une éventuelle gamelle. C'est bien à ça que l'on reconnaît le vrai vététis', pas vrai Lio B ?
Bertrand : Le malheureux a le triste privilège de cotoyer chaque jour Laurence. Autant dire que quand il vient courir à la Calade, il a un gros de besoin de décompresser. La preuve sur cette photo. Quand on pense en plus qu'il fréquente assiduement Françoise D., la gazelle psychopathe, on a du mal à trouver les mots.
Bernard : au fur et à mesure des saisons, sa vraie nature se dévoile enfin et c'est vers le très très très long et très très très dur que petit à petit il va s'orientant. A force de fréquenter les copains d'Abdel, c'était un peu à craindre.
Angélique : nouvelle venue au club, elle suscite avec sa topine Christelle ci-dessous l'admiration de tous pour sa volonté. C'est vrai que la course à pied, quand on démarre, c'est un peu ingrat. Ça dure quoi, dix-quinze ans, après ça va mieux et même des pas-doués comme Abdel ou le Saltimbanque arrivent à quelque chose. Courage !!!
Christelle : même commentaire que précédemment. Par ailleurs, avec elle, obtenir une petite photo sympa pour le site s'apparente à la longue traque de la gerbille mordorée dans le désert du Kalahari. Des heures de planque pour un résultat aléatoire, la preuve d'ailleurs ci-contre. M'enfin bon, ça n'est pas la seule au club qui a du mal avec son image. Pénible quand même tout ça !!!
Une Françoise de plus au club. Encore une adepte de l'entraînement souple, du genre long-long dans le froid, la neige, le vent, avec le sac à dos plein de cailloux, des peaux de phoques sous les skis et une demi-barre ovomaltine toutes les douze heures. Après, c'est sûr Vivien, il nous fait des complexes, forcément.
Laurent A. : enfin un coureur digne de ce nom à la Foulée, malgré un prénom qui prête à confusion avec celui du Nain Jaune. Pas de photos pour l'instant, dès que j'ai le temps, je la fais, promis, histoire que vous ayez une idée de celui qui nébulise régulièrement Abdelou et le Saltimbanque sur les courses du Challenge, sans parler évidemment des grotesques trimachinchoses qui jouent les chicanes mobiles à la Calade pendant les séries.
  Les nouveaux (plutot les nouvelles) : Septembre 2006
Ariane : Assidue, motivée, très concentrée, j'essaie de courir à coté, pour écouter les ragots, mais rien pour l'instant
Carole : Sous son meilleur profil, en plein exercice PPG
Karine : Condition physique exceptionnelle (qu'elle dit...), j'ai un peut coupé la photo (voir sur la page entrainement). Ce la raconte un peut, même beaucoup, surtout devant les rugbymens, a trouvée une ttt (topine de tour de terrain) en la personne de Gweeeeeeeen, s'invente des excuses bidons pour ne pas participer aux courses qu'elle annonce. Défi l'escargot à Rochefort du gard...
Lucie : Le vent et les premiers frimas auront-ils raison de sa motivation ?
Stéphanie : S'accroche à sa ttt, pas plus pour l'instant
Valerie : Motivée, assidue, pas de ragots pour l'instant non plus

Marie : Merci, la seule qui ait répondu à ma demande d'informations...

"J' habite Vedène, je me suis inscrite à la course à pied car c'est un sport qui permet d'évacuer toutes les tensions. C'est complet et je trouve qu'il y a une bonne équipe et une super ambiance. J'aime aussi les randonnées, le vélo et la lecture"

Germaine : toujours avec sa ttt, aussi...
  Les plus anciens
David : il aime courir dans le sable (voir photo au Grau du Roi) et dans les cailloux. Vient du foot, donc méfiance quand même. Il commence à s'aligner sur des courses de filles, style la Verticale du Ventoux. Après il a mal aux jambes et il se demande pourquoi.
José : motard émérite, il regrette chaque jour d’avantage d’avoir commencé à parler course à pieds avec son voisin. Souvent affublé d’une casquette grotesque (voir photo), il est par ailleurs l’heureux possesseur d’une chienne épagneul breton en parfait état de marche.
Marjolaine : elle démarre juste la course et trouve ça difficile, ce qui est normal, donc, n’hésitez pas à l’encourager quand vous la voyez, d’autant plus que son prénom qui n’est pas ridicule ne la complexe pas terriblement (moi, on me demande gentiment de rectifier les vannes un peu lourdes sur le site, je rectifie, pas de problème).
Valérie : une instit’ de plus dans un club qui devient de plus en plus mal fréquenté. N’hésitez pas à lui parler, sous des dehors bourrus, elle cache des dehors bourrus. Débauchée des Mille Pattes également (c’est là son moindre défaut). Les couleurs de la photo sont naturelles (si, si !)
Monira : encore une débauchée des Mille Pattes. Ne vous fiez pas à son allure réservée et à sa foulée grotesque, elle a fait plein de marathons et comme tout diesel qui se respecte possède donc une caisse à toute épreuve et le caractère qui va avec.
Stéphane : avec une petite bande de potes infiltrés dans la club, son objectif est de démoraliser notre trésorier bien-aimé en finissant ses 400 avec 10 secondes de mieux que les précédents. C’est petit de se moquer. Karatéka, donc cool quand même avec les vannes. Tailleur de pierre et sponsor à ses heures perdues.
Véronique : a un peu comme Nadia une bonne tendance à aller vite. Par ailleurs,elle descendait de la colline en chantant une chanson paillarde, la femme du tailleur de pierre, la femme du tailleur de pierre. En plus elle tire la langue sur les photos. Et karatéka,… ça fait lourd.
Serge : Béarnais, et non pas Basque, ce qui fait, un peu comme Ardennais et Lorrain, voyez. Rugbyman, ce qui est quand même plus présentable que footeux, vous le verrez parfois dans Piécos faire du bike-and-run avec sa fille. Redoutable sur 100m départ arrêté.
Serge : motard allumé, il chevauche depuis sa plus tendre enfance tout ce qui pousse fort (actuellement 7 et de demi SDRAM) et s’amuse à faire des runs le long de la Durance. Par ailleurs raider émérite et ancien cycliste. Il nous concocte amoureusement des petits parcours de « rando » sympa une fois par mois.
Hélène : femme de motard, heureuse utilisatrice du précédemment évoqué ainsi que du kiki noir en parfait état de fonctionnement ci-dessous. Va un peu trop vite aussi. Assure le punch aux pique-niques (pas trop d’oranges dans le rhum)
Alice : une blonde de plus au club pour l’ambiance. Toujours motivée, c’est normal, elle n’a toujours pas entendu jouer Philippe. Se met depuis peu à nous faire des runs sur le stade. Si ça continue, elle va nous faire des traces sur la pelouse, ça va pas ça.
Marie-Jo : je n’ai pas eu le temps de récolter des ragots désobligeants sur son compte, donc, je vais être obligé d’en inventer. Tant pis pour elle. À moins qu’une âme charitable ne me communique sans tarder et sous couvert de l’anonymat bien sûr (je couvre mes sources) toute rumeur même infondée évidemment. Soeur de Bernard, je l'ai appris récemment, elle ne s'en était pas vanté et on la comprend.
Medhi : à partir d’un certain niveau, le mieux est de ne pas répondre aux provocations, voilà mon point de vue. En plus d’être un avion, il est bêtement sympathique, donc on ne peux même pas en dire du mal, une honte, je vous dis ! En plus, il ramène des potes à lui au club maintenant : sur la pelouse de Capeau, il va falloir faire trois files dont une voie rapide. À quand le péage ?
Mous : père de Medhi. On va en profiter un peu pour se moquer tant qu’il ne va pas trop vite, parce que logiquement, dès qu’il aura posé les deux sacs à dos qu’il cache sous son tee-shirt, il devrait avancer comme il faut. En plus, il a fait du hand comme gardien. Quand on sait que même les rugbymen n’osent pas y aller à ce poste … Dernière nouvelles : il en a posé un et demi, d’ailleurs, je mets la photo qui correspond. Félicitations !!!
Patricia : encore une instit’, comme dit Abdel. Encore une presque blonde. Encore une avec des lunettes qui vont bien. Là aussi, ça fait beaucoup. Actuellement en stage longue durée dans les îles, on lui garde sa photo au chaud.
Corine : encore une photophobe forcenée. Des heures de palabres pour finalement obtenir ce cliché rare en profitant de sa vigilance distraite par les Tshirts brandis par Abdel. Dur !
Nadine : femme de médecin, coureuse, j’ai enfin trouvé son prénom grâce à Abdel qui n’a pas voulu m’en dire plus sur les rumeurs qui courraient sur son compte et son implication dans les récentes affaires qui ont secoué le petit monde de la vie nocturne vedénaise. Mais, n’en disons pas plus. Ça ne nous regarde pas. En plus, c’est pas le genre de la maison de faire courir des ragots donc bon. Court avec une canne blanche.
Fabrice : lui par contre, pas de problèmes pour la photo. Comme quoi, c’est pas moi qui l’invente, les chichis, c’est pas les mecs qui les font ! Après, on te parle d’égalité, demandez à Abdel ce qu’il en pense, juste pour rire. Sponsor indirect donc respect.
Didier : venu en éclaireur du célèbre club Indevauc’, il s’oriente de plus en plus vers la course à pied, malgré de brillants résultats cyclo. Un candidat de plus donc pour les cyclathlons. Adepte avéré de la gonflette et autre biking, stretching qui lui ont sculpté ce corps de rêve, il est tout content du nombre élevé de pépettes du club. Également souvent accompagné d’un kiki remuant, mais d’une autre marque que le rat noir habituel de bandana man.
Michèle : elle tente d’oublier dans la course à pied l’état de délabrement moral de sa progéniture. C’est toujours un peu dur au début, la course. Après, on s’habitue. Ou on arrête, sinon, lui faisait remarquer gentiment Véro-la-teigne. Enfin, nous, les affaires de famille… ce qu’on en dit. Mieux la photo ? Bof hein, on la refera.
Alice : une copine ramenée par Didier au club, même si elle se défend de connaître l'énergumène depuis longtemps et on la comprend : de telles fréquentations, on a du mal à les assumer. Ça partait mal, elle ne voulait pas des photos. Ça y est, maintenant, j'en ai une bonne,après des mois de planque : elle se sociabilise petit à petit, au contact de Didier et Patricia apparemment. Rectification : elle connaissait aussi Abdel en plus de Didier avant d'entrer à la Foulée. Elle avait même eu Abdel comme prof à l'école. Et elle revient à la Foulée. À ce stade de délabrement psychologique, on se sent parfois découragé.
Patricia : la coquine a essayé de me refiler un faux nom, c’est pas bien ça. Encore une copine de Didier, décidément, son influence néfaste s’accroît dans ce club. Véro-la-teigne, toujours prête à rendre service m’a refilé des tuyaux sur son compte, comme quoi malgré un permis gros cube passé sur la plage si j’ai bien tout compris, un passé africain, un mari motard (ça, c’est dur, encore qu’il n’est peut-être pas chasseur lui), elle serait overbookée en permanence mais sympa quand même pour une blonde, sauf quand elle s'acharne à vouloir configurer son compte mail avec un mauvais mot de passe (blonde, quoi !).
 Patricia ou plus exactement Laéticia: si j’ai bien tout compris, infirmière, blonde et qui court vite. Ça fait beaucoup, surtout quand on vient du Nord ou plus exactement de la Haute Normandie. Comme dit Christophe, la frontière belge n’étant jamais très loin... enfin bon, on n’est pas mauvaise langue gratuitement donc on en dira pas plus... Je rectifie les infos erronées pas de problème. En plus elle est vraiment trop souple, ça cache quelque chose.
Pascal (dit Labé-fils, dit Labé-vue, dit le Squale) Encore un transfuge du cultissime Indevauc' dont l'aura s'étend maintenant vers l'infini et au-delà. Heureusement que des douleurs récurrentes (tu chercheras dans le dico Didier) l'éloigne de l'athlé parce que sinon, en plus de nous humilier à vélo (de route exclusivement, les cailloux pas bon, mauvaise médecine, ça), il ne se gênerait pas pour le faire aussi à pied.
Connaissant son conjoint, on a bien du mal à comprendre comment l'équilibre psychologique de Sylvie peut rester intact. Et pourtant, le quotidien de la malheureuse n'est rien comparé à ce qu'endure Martine qu'une funeste destinée à fait partager l'existence de Philou (le saltimbanque chloré ?, non, l'autre, le pire, l'appareillé de la Folle, bien plus dangereux et pervers que l'aimable guitar-running-heroe qui tente de nous entraîner)
Pascale : une cohabitation avec Phil à la piscine de Vedène ne l'a pas empêchée de revenir cotoyer l'affreux à la Foulée. Maso un jour, ... Court en général très vite, surtout pour une nageuse, elle avait d'ailleurs été récruteé par Henry-les-bons -tuyaux pour le relais du sang du COSSLMA en 2003. Pas plus pour l'instant.
Patrick, plus connu sous Monj-l'écart-qui-tue dans le milieu cycliste. Avec l'arrivée de Didier au club, le transfert des membres d'Indevauc avait mal commencé. Avec l'arrivée de Pat', c'est, en plus, une page de l'histoire du triathlon vauclusien et plus spécifiquement de sa commission sport de glisse qui arrive à la Foulée. Fraîchement révisé : vidange (fréquentes à son âge), graissage (notamment au niveau articulaire), c'est un triathlète particulièrement nageur en ce moment paraît-il (un de plus, si ça continue, on va faire bébés nageur le vendredi soir et installer un pédiluve devant le gymnase) qui devrait venir si tout va bien fouler bientôt la pelouse de Capeau.
Charlotte : le recrutement des jeunes continue. Fille de son père pour son plus grand malheur, elle semble désespérement rebelle à tout ce qui peut apparaître de près ou de loin un tant soit peu rationnel. La preuve : elle nage et elle court malgré une hérédité chargée et elle aime les chevaux, ces bestioles psychopathes et paranoïaques.
Jérémy : il a comme sa soeur (voir photo ci-dessus) et son père (je vous fait passer des photos d'archives quand vous voulez) le goût des coiffures grotesques. Fan de karaté (comme la progéniture du saltimbanque aveugle) et de foot (même si ça n'est pas réciproque), il a brillament représenté la Foulée au cross d'Aubagne dans la catégorie benjamin et mérite donc tout notre sympathie.
Jalal : éminent représentant de la Dream Team alignée par Abdel à Aubagne, il a survolé sa catégorie ainsi que celle supérieure, à savoir, cadets et juniors. D'ailleurs, Abdel reconnaît quand on lui écrase le pied que c'est un des tout bons qu'il a entraîné, à part peut-être Christophe. En plus, il est sympa, donc tout baigne.
Mourad : un autre membre de la Dream Team d'Abdel. Il a récemment emmenagé à Monclar et nous a recommander de rester discret à ce sujet, donc pas de problème. Signe particulier : se promène avec un paquet de clopes dans la poche gauche pour au cas où une fille lui en demanderait. Le genre prévoyant, quoi ! S'est fait remonter les bretelles dans les grandes largeurs par le chef en rentrant d'Aubagne, pour une histoire de coupe. Sentence : si t'en veut une, t'as qu'à courir plus vite, petit con ! Après ça, on va nous le récupérer tout énervé le mardi soir, ,à la PPG.
Rachid : autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et rapide que les autres. Pas de ragots sur son compte pour l'instant. A bien contribué à mettre l'ambiance dans la voiture du chef pour le retour apparemment.
Saïd : autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et rapide que les autres. pendant sa course, il a eu le malheur de dire à Abdel qu'il avait mal au mollet. Erreur, c'est aux oreilles qu'il a eu mal finalement.
Radouane : autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et rapide que les autres. Par contre, plus calme apparemment. D'ailleurs, un signe qui ne trompe pas, c'est lui que le chef avait choisi de nous faire monter dans la Laguna Break du commercial pour aller à Aubagne. Il a répondu quand on lui parlait et il a dit s'il vous plait et merci, pas de souci. A fini deuxième junior à Aubagne malgré un officiel qui lui a cassé les jambes dans une bosse. Et devant les yeux du chef. Erreur, il a fini lui aussi avec mal aux oreilles, l'officiel, pas Radouane.
Didier : un de plus au club, celui-ci est arrivé avec le wagon Patrick-Lionel. Constamment blessé ou en voie de l'être ou mal remis ou un cailloux dans sa chaussure, son pote Patrick lui colle régulièrement une pilule dans les courses (soit-disant, je n'ai pas vérifié), ce qui ne l'empêche pas de continuer à s'entraîner assiduement, la preuve cette photo prise pendant une PPG du mardi, on ne dira pas où ce plot a fini la séance. Notez le regard vif et expressif.
Véro et Steph ont entraîné dans leur sillage Joëlle, adepte indécrottable paraît-il des voitures rouges. Venue à la course à pied pour faire maigrir son Rott obèse, elle y a apparemment renoncé et le laisse le soir devant la télé et son assiette de croquette pour venir trottiner avec nous. c'est vrai qu'un kiki de cette marque, déjà bien nourri, c'est impressionnant, mais affamé, ça doit être difficile de lui refuser quelque chose.
Toujours dans la foulée des Molina, du côté Michèle cette fois, Pascale. Peu d'informations croustillantes sur son compte pour l'instant, on va la laisser s'habituer un peu avant de mettre en ligne celle que je détiens. Fait du vélo à ses heures.
Julie : son prénom est souvent marqué dessus mais il aura pourtant fallu l'intervention toujours diplomate du chef pour la convaincre de poser (rapidement et au vol) pour la photo du trombinoscope. Venue au club en famille (voir ci-dessous). Pratique le triathlon donc méfiance.
Claire : comme pour Marie-Claude ci-dessous, pas de détails compromettants à mettre en ligne pour l'instant, ça ne saurait tarder.
Marie-Claude : je n'ai pas encore bien repéré avec qui elle a été (bien) dirigée vers la Foulée donc, je pense obtenir bientôt quelques détails à mettre en ligne sur son compte. Sinon, j'invente comme d'hab'.
Pascal : un transfuge du treize de Vedène. À force nous voir avionner sur la Calade, il a choisi d'arrêter de courir en zig-zag et de pratiquer enfin un sport d'hommes avec nous. Bienvenue !!! Je mets la photo dès que je la réussis.
Patrick : a couru (rapidement d'ailleurs) à Avignon. Je cuisine son entourage pour une description plus approfondie. Fréquente apparemment Patrick D, un des farouche adeptes au club de la blagounette qui tâche et qui colle dans le fond, ce qui n'augure rien de bon.
Lionel B : farouche adepte décérébré (seul ou à deux) des pneus sales à crampons, malgré quelques sorties fumantes sur le bitume, il avoue malgré tout s'estimer naturellement plus à l'aise en course à pied. Heureusement pour nous qu'un périoste susceptible le ramène à la raison en l'obligeant à rester sur le rythme sain de quinze jours d'entraînement pour trois semaines de massage parce quand on voit son niveau à VTT, on a du mal à s'imaginer ce que ça pourrait être à pied en bourrinant un peu plus. A tracé le circuit course à pied de Velleron 2004 et donc mérite pour cela tout notre mépris, toute suggestion de vengeance étant la bienvenue.
Vincent R : malgré un charmant prénom et même s'il s'en défend, a atteint de nombreuses saisons un niveau d'enfer à pied. Des tibias récalcitrants l'auront pour son malheur contraint à lever le pied mais je le soupçonne d'avoir plus que des restes, surtout sur le souple à la Calade. Encore un pour calmer Jé et le saltimbanque. Pas d'excuses en tout cas, il habite à 53 m du stade.