Ancien trombinoscope
(Ils sont passés par ici... On les retrouvera par là...)
Laurence : 29 ans, elle court avec la Foulée depuis trois années maintenant et a accompli de ce fait des progrès étonnants eu égard à une constitution physique déplorable qui lui permet de battre le saltimbanque haut la main au concours de celui qui pleurniche le plus fort, et pourtant c'était pas facile !!! (Partie faire une p'tit tour du coté de St Sat) |
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Marc (Le patron 2006)
: Sa régularité à l'entraînement lui a permis
de progresser lui aussi à toute blinde depuis deux saisons et
il affiche maintenant fièrement ses chronos au lieu de courir
sous des pseudonymes, comme il n'y a pas si longtemps. S'essaie également
à finir ses séries à fond, histoire de voir. Le
bien bien long l'attire et il tient de temps à autre compagnie
au Narnard. |
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Cathie : débauchée des Mille Pattes, elle a voulu venir à Vedène pour des raisons obscures que je ne désespère pas d’élucider. Depuis qu’elle a entendu parler Abdel, elle reparle de repartir au Pontet (Partie faire un p'tit tour du coté de Rochefort du Gard) |
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Nadia : elle
change de couleur tous les quinze jours, elle est donc assez facile
à repérer. Son Patrick de mari l'accompagne en général,
quoiqu'assez irrégulièrement. Les malheureux sont affligés
d'une progéniture déplorable qui vient de temps en temps
prendre l'air à la Calade. |
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Vincent (Buldoz)
: il a battu Pantani aux échecs et fait péter Kasparov dans une bosse.
Scotché à vélo dès que la pente dépasse les |
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Jipé (de son
nom de scène) : kayakiste forcené, instit amateur de jaja, (ce
qui un pléonasme, en fait !), finisher de Marvejols-Mende 2003, ardent
supporter sur le tour de Vaucluse 2003. Habitant à Lagnes, il vient
courir à Vedène, chapeau ! |
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Laurent : frère
de Nadia, de plus en plus léger au fil des saisons.Adepte invétéré
de la blagounette, il a trouvé en Patrick un complice dans ce
domaine, mais toujours correc', quoique. Le renouveau en cours de la
Tribune Libre (voir menu) lui doit beaucoup. |
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Sylvie : femme
d’Abdel. On a un peu discuté, on est tous très, très compatissants au
club. Courage ! Si on peut faire quelque chose... |
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Nathalie : il
aura fallu l’intervention du chef pour la convaincre de figurer sur
cette page. Voilà. Maintenant qu’on a gagné, on va procéder par étapes.
De toute façon, je marquerai ce que je veux quand je voudrai, c’est
tout. Que ça soit clair. |
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Sandrine : ceux
qui ont eu l’oreille indiscrète vendredi 9 mai ont pu entendre le coach
essayer de la convaincre que courir quand on avait mal quelque part,
c’était pas la super bonne idée. Peu après cette conversation, Abdel
essayait de réorienter sa carrière vers la vente sauvage d’un lot de
survêts est-allemands (voir photos apéro). Coïncidence ? |
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Patrick : depuis
le temps que j’oublie de le prendre en photo, cette fois ça y est. Triathlète
un jour, triathlète toujours. J’attends la fiche de sa petite femme
pour plus de précisions, ça s’annonce chaud. Allégé de quelques grammes
en 2004 pour échapper au Marseille Cassis, c’est petit joueur ça. Voir
le commentaire de sa chère et tendre plus haut. |
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Gil : un instit
vedénais de plus, un mâle cette fois, c’est mieux, tout baigne. Très
photogénique par ailleurs, même pour un footeux. Passe ses footing
à papoter derrière avec Abdel, c’est bien, comme ça, le chef, ça l’occupe,
il nous lâche la grappe. |
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Françoise (La gazelle)
: de plus en plus véloce, elle participe de toute sa bonne volonté
(et c'est vrai qu'il en faut) à la vie du club en ramenant les
infos sur les courses sympa,... Extrêmement susceptible, on veillera
donc à ne pas la froisser ici, surtout que lancer des ragôts,
comme cette vieille histoire de détournement de fonds pour la
mairie de Vedène |
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Jérôme : un candidat
de poids pour faire péter le gros Philou sur les courses, c’est bien
ça, les séances d’entraînement commencent à décrasser, parce que c’est
pas avec Abdel en ce moment qu’on peut espérer faire quelque chose.
De plus en plus véloce au fur à mesure des saisons, il
a défié le coach sur marathon à Paris en 2006,
ça va être un vrai concours de ballon, cette course, avec
le nombre de participants qui partent d'ici, entre la Foulée
et le club (ami, grâce à Lionel Chlak.) de Villeneuve!!! |
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Lionel : il tavai
laissé sa dame en Haute-Savoie pour venir utiliser ses globules dans
la plaine. C’est vrai qu’il y a moins de neige pour galoper l’hiver
par ici. Très régulier et motivé, ses résultats
en hausse sont là pour le récompenser. Fera partie, comme
chaque année du wagon de touristes qui économisent toute
l'année pour faire la tournée des boîtes le samedi
soir à Paris en avril, en prétextant le marathon du dimanche
matin. Il vont finir par avoir du mal à expliquer à leur
femme pourquoi ils passent à travers chaque année. |
|
Patrick D: il
ne sait pas dire non paraît-il, ce qui peut s’avérer très dangereux
dans un environnement où rode Phil, mais il l’apprendra bien assez tôt.
À ne pas rater, la petite séance de blagounettes du vendredi pendant
les étirements, très soft bien sûr, on sait se tenir, surtout celle
de la porte des chiottes, m’enfin... avec Laurent, frère de Nadia, je
sens que ça va donner, rectification, ça donne. |
|
Françoise (La
tortue) : après les maisons de maçon, voici la
femme de. Receleur de Francoise pour le gros matériel de chantier,
un peu sponsor du club (pour combien de temps, maintenant ?) quand même,
donc, comme pour karaté-kid', on ne chambre que modérément
et toujours correc', comme d'hab'. |
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Cyrielle
: elle a tâté du triathlon et a dignement représenté
la Foulée à Aubagne en 2004, malgré les recommandations
de sa mère qui voulait la garder à la maison pour lui
servir de prétexte. Devant son acharnement, celle-ci aura finalement
gardé auprès d'elle son fils Pierrick. Bravo ! Heureusement,
Abdel lui prépare des plans d'entraînements différents
de ceux de sa mère. |
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Avec Laurent
(Nain jaune), le club touche le fond en ce qui concerne le recrutement.
Grotesque en natation, pitoyable à vélo et ridicule en
course à pieds (surtout pour le finish), il s'est essayé
au triathlon en espérant que ça ne pourrait pas être
pire. Il avait tort. Quand on sait qu'il vient du treize, on comprend
mieux certaines choses. Mal syndiqué de surcroît. Surnommé
Luciole Véloce dès que la nuit tombe sur la Calade en
hiver, le Nain Jaune le reste du temps. |
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Kévin
: l'année dernière, j'avais pu le prendre en photo, cette
fois, rien à faire, aussi pénible que sa soeur l'an dernier.
Pas bon, comme évolution ça. Comme tout triathlète
qui se respecte, affectionne le fluo, en ce moment, le jaune. Adepte
pénible avec son Tonton du moins vingt pour cent sur les séries.
Feignasse de triathlète quoi. |
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Eric
: père malheureux de la précédemment décrite
progéniture, il fait confiance pour consulter le site et internet
en général. Bien, profitons-en donc. Egalement triathlète
à ses heures perdues, donc quelqu'un de parfaitement infréquentable.
Après Laurent M. (surnommé Luciole Véloce donc),Pat
Monj (dit l'écart-qui-tue), ils se multiplient au sein du club.
Je garde ici encore mes précédents commentaires, toujours
malheureusement d'actualité. On aura compris cette année
que le Nain Jaune et les Sorguais n'étaient que des éclaireurs,
la suite de la perfusion de triathlètes au club ne faisait hélas
que commencer. |
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Yves
: dans la série Famille, je voudrais le tonton. Beaucoup trop
rapide à pied et à vélo pour être fréquentable,
il a au moins l'avantage de mettre un peu la pression à Jé
sur la Calade. Pour l'instant le saltimbanque est aux fraises, ce qui
reste logique vu son grand âge. Infréquentable également
à VTT, ce qui est assez rare chez un triathlète pour être
souligné, le Nain Jaune nous ayant habitué à du
bien grotesque dans ce domaine. |
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Sandra
: dans la série famille, je voudrais la tata. Egalement bêtement
sympathique tout comme son loulou. Trop rapide aussi d'ailleurs. Court
souvent derrière sa poussette. Quand on dit qu'à force
de fréquenter Laurent, ça esquinte. |
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Anouche
: notre conversation n'étant pas sans doute de son goût,
Sandra a finalement préférer traîner aux entraînements
sa topine de papotage habituelle. Pour être triathlète,
on n'en reste pas moins pépette, les hormones sont bien là.
Ça rassure un peu quand même, parce quand on voit à
quelle allure tout ça se déplace, on pourrait être
en droit de se faire du souci. |
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Cyril
: accompagnateur agrée de la ci-précédemment et
brièvement décrite, il est également un adepte
décérébré des pneus sales à crampons,
un candidat de plus donc pour les vétathlons de l'automne. |
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Eric
: un triathlète de plus arrivé dans l'intersaison et qui
nous met(tai) la pression sur la Calade, ça commence à
devenir une mauvaise habitude. On trottinait tranquilles nous avant,
on faisait les malins devant les rugbymen qui faisaient la ronde et
bon. Terminé, il va falloir assurer un minimum. Adepte en plus
des raids, des trails, du VTT plutôt en rando. Accompagné
au club de sa pépette personnelle (voir ci-dessous), on n'est
jamais trop prévoyant.... Abonné à l'infirmerie,
pour l'instant, nous lui souhaitons plein de courage |
|
Gweeeeeeeeeeeeen
: elle court, plutôt dans la nature et sur du long. Facile à
repérer : on notera le torchon sur la tête. Equipée
d'un genou en carton-pâte qui la pénalise un peu quand
même, elle n'hésite pas malgré tout à accompagner
son kiki sur les raids sans crainte de la fatigue et à VTT sans
crainte du ridicule, un peu comme Sandra, oui. D'ailleurs elles sont
topines. |
|
Vivien
: un cycliste-vététis'-raider multicasquette de plus au
club, traîné dans le sillage de Fanny. Entre les triathlètes
et les crampons sales décérébrés, le club
évolue mal, moi je vous le dis. |
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Didier
(l'escargot) : surnommé
(mais c'est de moins en moins d'actualité vu ses progrès
fulgurants, comme quoi la régularité, ça paye)
l'Escargot, il s'est porté volontaire pour s'occuper du site
avec moi. Extrêmement motivé et compétent, soit
dit en passant. C'est bien, ça, en cas de problème, vous
verrez donc ça avec lui, parce les commentaires déplacés
et les remarques désobligeantes, c'est pas mon truc, déjà
que l'ambiance du club, avec la nuée de triathlètes qui
s'est abattue dessus cette année,... |
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Joseph
: au club depuis deux saisosns maintenant et malentendant, sa petite
femme s'accompagne souvent sur le stade. Toujours pas de ragots sur
son compte, trop discret cet homme là !!! Depuis que Vivien est
au club, a enfin quelqu'un avec qui discuter !!! |
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Fanny
: il fallait malheureusement s'y attendre : la licence Ufolep étant
multisport, il fallait craindre l'irruption de pratiquants d'autres
disciplines. Dans le sillage de Lionel B., voici donc encore une adepte
décérébrée des pneus sales à crampons
qui tente de contaminer un club décidément de moins en
moins fréquentable. Issue par ailleurs, comme le précédemment
évoqué, du club ami (pour combien de temps s'ils continuent
à tracer leurs parcours comme ils s'entêtent à le
faire ?) des Crapauds de Gigo qui écument la colline de Gigognan
(d'où le nom, Didier : Gigo, c'est le début de Gigognan
tu vois). NB : je sais c'est un peu lourd mais bon, soyez sympa pour
lui, il fait des efforts d'intégration. |
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Audrey
: mes plus plates excuses pour avoir omis de l'inclure dans ces pages.
L'oubli est désormais réparé, encore désolé
d'autant plus que la pauvre n'a pas besoin de ça, la vie ne l'ayant
pas épargnée si on s'en réfère à
son hérédité chargée. Laquelle hérédité
sera d'ailleurs le bienvenu de me faire parvenir ragots et autre billevesées,
histoire de se moquer (mais pas les habits !), c'est toujours un plaisir,
surtout à cet âge, en général, ils ne sont
absolument pas susceptibles. |
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Alain
: Doté d'une constitution fragile et incertaine qui le prive
des plaisirs de la course à pied, c'est sur le conseil du saltimbanque
qu'Alain s'est orienté (quand on connaît Phil, c'est une
façon de parler) vers le VTT. Heureusement bridé pour
l'instant par une condition physique déplorable que des années
en maternelle n'ont pas arrangée, il semble doté de capacités
redoutables en descente où son neurone-et-demi lui est d'un grand
secours pour l'aider à ne pas réfléchir aux conséquences
fâcheuses d'une éventuelle gamelle. C'est bien à
ça que l'on reconnaît le vrai vététis', pas
vrai Lio B ? |
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Bertrand
: Le malheureux a le triste privilège de cotoyer chaque jour
Laurence. Autant dire que quand il vient courir à la Calade,
il a un gros de besoin de décompresser. La preuve sur cette photo.
Quand on pense en plus qu'il fréquente assiduement Françoise
D., la gazelle psychopathe, on a du mal à trouver les mots. |
|
Bernard
: au fur et à mesure des saisons, sa vraie nature se dévoile
enfin et c'est vers le très très très long et très
très très dur que petit à petit il va s'orientant.
A force de fréquenter les copains d'Abdel, c'était un
peu à craindre. |
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Angélique
: nouvelle venue au club, elle suscite avec sa topine Christelle ci-dessous
l'admiration de tous pour sa volonté. C'est vrai que la course
à pied, quand on démarre, c'est un peu ingrat. Ça
dure quoi, dix-quinze ans, après ça va mieux et même
des pas-doués comme Abdel ou le Saltimbanque arrivent à
quelque chose. Courage !!! |
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Christelle
: même commentaire que précédemment. Par ailleurs,
avec elle, obtenir une petite photo sympa pour le site s'apparente à
la longue traque de la gerbille mordorée dans le désert
du Kalahari. Des heures de planque pour un résultat aléatoire,
la preuve d'ailleurs ci-contre. M'enfin bon, ça n'est pas la
seule au club qui a du mal avec son image. Pénible quand même
tout ça !!! |
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Une Françoise
de plus au club. Encore une adepte de l'entraînement souple, du
genre long-long dans le froid, la neige, le vent, avec le sac à
dos plein de cailloux, des peaux de phoques sous les skis et une demi-barre
ovomaltine toutes les douze heures. Après, c'est sûr Vivien,
il nous fait des complexes, forcément. |
|
Laurent A. : enfin un coureur
digne de ce nom à la Foulée, malgré un prénom
qui prête à confusion avec celui du Nain Jaune. Pas de
photos pour l'instant, dès que j'ai le temps, je la fais, promis,
histoire que vous ayez une idée de celui qui nébulise
régulièrement Abdelou et le Saltimbanque sur les courses
du Challenge, sans parler évidemment des grotesques trimachinchoses
qui jouent les chicanes mobiles à la Calade pendant les séries. |
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Les nouveaux (plutot les nouvelles) : Septembre 2006 | |
Ariane : Assidue, motivée, très concentrée, j'essaie de courir à coté, pour écouter les ragots, mais rien pour l'instant | |
Carole : Sous son meilleur profil, en plein exercice PPG | |
Karine : Condition physique exceptionnelle (qu'elle dit...), j'ai un peut coupé la photo (voir sur la page entrainement). Ce la raconte un peut, même beaucoup, surtout devant les rugbymens, a trouvée une ttt (topine de tour de terrain) en la personne de Gweeeeeeeen, s'invente des excuses bidons pour ne pas participer aux courses qu'elle annonce. Défi l'escargot à Rochefort du gard... | |
Lucie : Le vent et les premiers frimas auront-ils raison de sa motivation ? | |
Stéphanie : S'accroche à sa ttt, pas plus pour l'instant | |
Valerie : Motivée, assidue, pas de ragots pour l'instant non plus | |
Marie : Merci, la seule qui ait répondu à ma demande d'informations... "J' habite Vedène, je
me suis inscrite à la course à pied car c'est un sport
qui permet d'évacuer toutes les tensions. C'est complet et je
trouve qu'il y a une bonne équipe et une super ambiance. J'aime
aussi les randonnées, le vélo et la lecture" |
|
Germaine : toujours avec sa ttt, aussi... | |
Les plus anciens | |
David : il aime
courir dans le sable (voir photo au Grau du Roi) et dans les cailloux.
Vient du foot, donc méfiance quand même |
|
José : motard
émérite, il regrette chaque jour d’avantage d’avoir commencé à parler
course à pieds avec son voisin. Souvent affublé d’une casquette grotesque
(voir photo), il est par ailleurs l’heureux possesseur d’une chienne
épagneul breton en parfait état de marche. |
|
Marjolaine :
elle démarre juste la course et trouve ça difficile, ce qui est normal,
donc, n’hésitez pas à l’encourager quand vous la voyez, d’autant plus
que son prénom qui n’est pas ridicule ne la complexe pas terriblement
(moi, on me demande gentiment de rectifier les vannes un peu lourdes
sur le site, je rectifie, pas de problème). |
|
Valérie : une
instit’ de plus dans un club qui devient de plus en plus mal fréquenté.
N’hésitez pas à lui parler, sous des dehors bourrus, elle cache des
dehors bourrus. Débauchée des Mille Pattes également (c’est là son moindre
défaut). Les couleurs de la photo sont naturelles (si, si !) |
|
Monira : encore
une débauchée des Mille Pattes. Ne vous fiez pas à son allure réservée
et à sa foulée grotesque, elle a fait plein de marathons et comme tout
diesel qui se respecte possède donc une caisse à toute épreuve |
|
Stéphane : avec
une petite bande de potes infiltrés dans la club, son objectif est de
démoraliser notre trésorier bien-aimé en finissant ses 400 avec 10 secondes
de mieux que les précédents. C’est petit de se moquer. Karatéka, donc
cool quand même avec les vannes. Tailleur de pierre et sponsor à ses
heures perdues. |
|
Véronique : a
un peu comme Nadia une bonne tendance à aller vite. Par ailleurs,elle
descendait de la colline en chantant une chanson paillarde, la femme
du tailleur de pierre, la femme du tailleur de pierre. En plus elle
tire la langue sur les photos. Et karatéka,… ça fait lourd. |
|
Serge : Béarnais,
et non pas Basque, ce qui fait, un peu comme Ardennais et Lorrain, voyez.
Rugbyman, ce qui est quand même plus présentable que footeux, vous le
verrez parfois dans Piécos faire du bike-and-run avec sa fille. Redoutable
sur 100m départ arrêté. |
|
Serge : motard
allumé, il chevauche depuis sa plus tendre enfance tout ce qui pousse
fort (actuellement 7 et de demi SDRAM) et s’amuse à faire des runs le
long de la Durance. Par ailleurs raider émérite et ancien cycliste.
Il nous concocte amoureusement des petits parcours de « rando »
sympa une fois par mois. |
|
Hélène : femme
de motard, heureuse utilisatrice du précédemment évoqué ainsi que du
kiki noir en parfait état de fonctionnement ci-dessous. Va un peu trop
vite aussi. Assure le punch aux pique-niques (pas trop d’oranges dans
le rhum) |
|
Alice : une blonde
de plus au club pour l’ambiance. Toujours motivée, c’est normal, elle
n’a toujours pas entendu jouer Philippe. Se met depuis peu à nous faire
des runs sur le stade. Si ça continue, elle va nous faire des traces
sur la pelouse, ça va pas ça. |
|
Marie-Jo : je
n’ai pas eu le temps de récolter des ragots désobligeants sur son compte,
donc, je vais être obligé d’en inventer. Tant pis pour elle. À moins
qu’une âme charitable ne me communique sans tarder et sous couvert de
l’anonymat bien sûr (je couvre mes sources) toute rumeur même infondée
évidemment. Soeur de Bernard, je l'ai appris récemment, elle
ne s'en était pas vanté et on la comprend. |
|
Medhi : à partir
d’un certain niveau, le mieux est de ne pas répondre aux provocations,
voilà mon point de vue. En plus d’être un avion, il est bêtement sympathique,
donc on ne peux même pas en dire du mal, une honte, je vous dis ! En
plus, il ramène des potes à lui au club maintenant : sur
la pelouse de Capeau, il va falloir faire trois files dont une voie
rapide. À quand le péage ? |
|
Mous : père de
Medhi. On va en profiter un peu pour se moquer tant qu’il ne va pas
trop vite, parce que logiquement, dès qu’il aura posé les deux sacs
à dos qu’il cache sous son tee-shirt, il devrait avancer comme il faut.
En plus, il a fait du hand comme gardien. Quand on sait que même les
rugbymen n’osent pas y aller à ce poste … Dernière nouvelles : il en
a posé un et demi, d’ailleurs, je mets la photo qui correspond |
|
Patricia : encore
une instit’, comme dit Abdel. Encore une presque blonde. Encore une
avec des lunettes qui vont bien. Là aussi, ça fait beaucoup. Actuellement
en stage longue durée dans les îles, on lui garde sa photo
au chaud. |
|
Corine : encore
une photophobe forcenée. Des heures de palabres pour finalement obtenir
ce cliché rare en profitant de sa vigilance distraite par les Tshirts
brandis par Abdel. Dur ! |
|
Nadine : femme
de médecin, coureuse, j’ai enfin trouvé son prénom grâce à Abdel qui
n’a pas voulu m’en dire plus sur les rumeurs qui courraient sur son
compte et son implication dans les récentes affaires qui ont secoué
le petit monde de la vie nocturne vedénaise. Mais, n’en disons pas plus.
Ça ne nous regarde pas. En plus, c’est pas le genre de la maison de
faire courir des ragots donc bon. |
|
Fabrice : lui
par contre, pas de problèmes pour la photo. Comme quoi, c’est pas moi
qui l’invente, les chichis, c’est pas les mecs qui les font ! Après,
on te parle d’égalité, demandez à Abdel ce qu’il en pense, juste pour
rire. Sponsor indirect donc respect. |
|
Didier : venu
en éclaireur du célèbre club Indevauc’, il s’oriente de plus en plus
vers la course à pied, malgré de brillants résultats cyclo. Un candidat
de plus donc pour les cyclathlons. Adepte avéré de la gonflette et autre
biking, stretching qui lui ont sculpté ce corps de rêve, il est tout
content du nombre élevé de pépettes du club. Également souvent accompagné
d’un kiki remuant, mais d’une autre marque que le rat noir habituel
de bandana man. |
|
Michèle : elle
tente d’oublier dans la course à pied l’état de délabrement moral de
sa progéniture. C’est toujours un peu dur au début, la course. Après,
on s’habitue. Ou on arrête, sinon, lui faisait remarquer gentiment Véro-la-teigne.
Enfin, nous, les affaires de famille… ce qu’on en dit. Mieux la photo
? Bof hein, on la refera. |
|
Alice : une copine
ramenée par Didier au club, même si elle se défend de connaître
l'énergumène depuis longtemps et on la comprend : de telles
fréquentations, on a du mal à les assumer. Ça partait
mal, elle ne voulait pas des photos. Ça y est, maintenant, j'en
ai une bonne,après des mois de planque : elle se sociabilise
petit à petit, au contact de Didier et Patricia apparemment.
Rectification : elle connaissait aussi Abdel en plus de Didier avant
d'entrer à la Foulée. Elle avait même eu Abdel comme
prof à l'école. Et elle revient à la Foulée.
À ce stade de délabrement psychologique, on se sent parfois
découragé. |
|
Patricia : la
coquine a essayé de me refiler un faux nom, c’est pas bien ça. Encore
une copine de Didier, décidément, son influence néfaste s’accroît dans
ce club. Véro-la-teigne, toujours prête à rendre service m’a refilé
des tuyaux sur son compte, comme quoi malgré un permis gros cube passé
sur la plage si j’ai bien tout compris, un passé africain, un mari motard
(ça, c’est dur, encore qu’il n’est peut-être pas chasseur lui), elle
serait overbookée en permanence mais sympa quand même pour une blonde,
sauf quand elle s'acharne à vouloir configurer son compte mail
avec un mauvais mot de passe (blonde, quoi !). |
|
Patricia
ou plus exactement Laéticia: si
j’ai bien tout compris, infirmière, blonde et qui court vite. Ça fait
beaucoup, surtout quand on vient du Nord ou plus exactement de la Haute
Normandie. Comme dit Christophe, la frontière belge n’étant jamais très
loin... enfin bon, on n’est pas mauvaise langue gratuitement donc on
en dira pas plus... Je rectifie les infos erronées pas de problème.
En plus elle est vraiment trop souple, ça cache quelque chose. |
|
Pascal
(dit Labé-fils, dit Labé-vue, dit le Squale) Encore un
transfuge du cultissime Indevauc' dont l'aura s'étend maintenant
vers l'infini et au-delà. Heureusement que des douleurs récurrentes
(tu chercheras dans le dico Didier) l'éloigne de l'athlé
parce que sinon, en plus de nous humilier à vélo (de route
exclusivement, les cailloux pas bon, mauvaise médecine, ça),
il ne se gênerait pas pour le faire aussi à pied. |
|
Connaissant
son conjoint, on a bien du mal à comprendre comment l'équilibre
psychologique de Sylvie peut rester intact.
Et pourtant, le quotidien de la malheureuse n'est rien comparé
à ce qu'endure Martine qu'une funeste destinée à
fait partager l'existence de Philou (le saltimbanque chloré ?,
non, l'autre, le pire, l'appareillé de la Folle, bien plus dangereux
et pervers que l'aimable guitar-running-heroe qui tente de nous entraîner) |
|
Pascale
: une cohabitation avec Phil à la piscine de Vedène ne
l'a pas empêchée de revenir cotoyer l'affreux à
la Foulée. Maso un jour, ... Court en général très
vite, surtout pour une nageuse, elle avait d'ailleurs été
récruteé par Henry-les-bons -tuyaux pour le relais du
sang du COSSLMA en 2003. Pas plus pour l'instant. |
|
Patrick,
plus connu sous Monj-l'écart-qui-tue dans le milieu cycliste.
Avec l'arrivée de Didier au club, le transfert des membres d'Indevauc
avait mal commencé. Avec l'arrivée de Pat', c'est, en
plus, une page de l'histoire du triathlon vauclusien et plus spécifiquement
de sa commission sport de glisse qui arrive à la Foulée.
Fraîchement révisé : vidange (fréquentes
à son âge), graissage (notamment au niveau articulaire),
c'est un triathlète particulièrement nageur en ce moment
paraît-il (un de plus, si ça continue, on va faire bébés
nageur le vendredi soir et installer un pédiluve devant le gymnase)
qui devrait venir si tout va bien fouler bientôt la pelouse de
Capeau. |
|
Charlotte
: le recrutement des jeunes continue. Fille de son père pour
son plus grand malheur, elle semble désespérement rebelle
à tout ce qui peut apparaître de près ou de loin
un tant soit peu rationnel. La preuve : elle nage et elle court malgré
une hérédité chargée et elle aime les chevaux,
ces bestioles psychopathes et paranoïaques. |
|
Jérémy
: il a comme sa soeur (voir photo ci-dessus) et son père (je
vous fait passer des photos d'archives quand vous voulez) le goût
des coiffures grotesques. Fan de karaté (comme la progéniture
du saltimbanque aveugle) et de foot (même si ça n'est pas
réciproque), il a brillament représenté la Foulée
au cross d'Aubagne dans la catégorie benjamin et mérite
donc tout notre sympathie. |
|
Jalal
: éminent représentant de la Dream Team alignée
par Abdel à Aubagne, il a survolé sa catégorie
ainsi que celle supérieure, à savoir, cadets et juniors.
D'ailleurs, Abdel reconnaît quand on lui écrase le pied
que c'est un des tout bons qu'il a entraîné, à part
peut-être Christophe. En plus, il est sympa, donc tout baigne. |
|
Mourad
: un autre membre de la Dream Team d'Abdel. Il a récemment emmenagé
à Monclar et nous a recommander de rester discret à ce
sujet, donc pas de problème. Signe particulier : se promène
avec un paquet de clopes dans la poche gauche pour au cas où
une fille lui en demanderait. Le genre prévoyant, quoi ! S'est
fait remonter les bretelles dans les grandes largeurs par le chef en
rentrant d'Aubagne, pour une histoire de coupe. Sentence : si t'en veut
une, t'as qu'à courir plus vite, petit con ! Après ça,
on va nous le récupérer tout énervé le mardi
soir, ,à la PPG. |
|
Rachid
: autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et
rapide que les autres. Pas de ragots sur son compte pour l'instant.
A bien contribué à mettre l'ambiance dans la voiture du
chef pour le retour apparemment. |
|
Saïd
: autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et
rapide que les autres. pendant sa course, il a eu le malheur de dire
à Abdel qu'il avait mal au mollet. Erreur, c'est aux oreilles
qu'il a eu mal finalement. |
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Radouane
: autre membre de la Dream Team. Aussi bêtement sympathique et
rapide que les autres. Par contre, plus calme apparemment. D'ailleurs,
un signe qui ne trompe pas, c'est lui que le chef avait choisi de nous
faire monter dans la Laguna Break du commercial pour aller à
Aubagne. Il a répondu quand on lui parlait et il a dit s'il vous
plait et merci, pas de souci. A fini deuxième junior à
Aubagne malgré un officiel qui lui a cassé les jambes
dans une bosse. Et devant les yeux du chef. Erreur, il a fini lui aussi
avec mal aux oreilles, l'officiel, pas Radouane. |
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Didier
: un de plus au club, celui-ci est arrivé avec le wagon Patrick-Lionel.
Constamment blessé ou en voie de l'être ou mal remis ou
un cailloux dans sa chaussure, son pote Patrick lui colle régulièrement
une pilule dans les courses (soit-disant, je n'ai pas vérifié),
ce qui ne l'empêche pas de continuer à s'entraîner
assiduement, la preuve cette photo prise pendant une PPG du mardi, on
ne dira pas où ce plot a fini la séance. Notez le regard
vif et expressif. |
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Véro et
Steph ont entraîné dans leur sillage Joëlle,
adepte indécrottable paraît-il des voitures rouges. Venue
à la course à pied pour faire maigrir son Rott obèse,
elle y a apparemment renoncé et le laisse le soir devant la télé
et son assiette de croquette pour venir trottiner avec nous. c'est vrai
qu'un kiki de cette marque, déjà bien nourri, c'est impressionnant,
mais affamé, ça doit être difficile de lui refuser
quelque chose. |
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Toujours dans
la foulée des Molina, du côté Michèle cette
fois, Pascale. Peu d'informations croustillantes
sur son compte pour l'instant, on va la laisser s'habituer un peu avant
de mettre en ligne celle que je détiens. Fait du vélo
à ses heures. |
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Julie
: son prénom est souvent marqué dessus mais il aura pourtant
fallu l'intervention toujours diplomate du chef pour la convaincre de
poser (rapidement et au vol) pour la photo du trombinoscope. Venue au
club en famille (voir ci-dessous). Pratique le triathlon donc méfiance. |
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Claire
: comme pour Marie-Claude ci-dessous, pas de détails compromettants
à mettre en ligne pour l'instant, ça ne saurait tarder. |
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Marie-Claude
: je n'ai pas encore bien repéré avec qui elle a été
(bien) dirigée vers la Foulée donc, je pense obtenir bientôt
quelques détails à mettre en ligne sur son compte. Sinon,
j'invente comme d'hab'. |
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Pascal
: un transfuge du treize de Vedène. À force nous voir
avionner sur la Calade, il a choisi d'arrêter de courir en zig-zag
et de pratiquer enfin un sport d'hommes avec nous. Bienvenue !!! Je
mets la photo dès que je la réussis. |
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Patrick
: a couru (rapidement d'ailleurs) à Avignon. Je cuisine son entourage
pour une description plus approfondie. Fréquente apparemment
Patrick D, un des farouche adeptes au club de la blagounette qui tâche
et qui colle dans le fond, ce qui n'augure rien de bon. |
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Lionel
B : farouche adepte décérébré
(seul ou à deux) des pneus sales à crampons, malgré
quelques sorties fumantes sur le bitume, il avoue malgré tout
s'estimer naturellement plus à l'aise en course à pied.
Heureusement pour nous qu'un périoste susceptible le ramène
à la raison en l'obligeant à rester sur le rythme sain
de quinze jours d'entraînement pour trois semaines de massage
parce quand on voit son niveau à VTT, on a du mal à s'imaginer
ce que ça pourrait être à pied en bourrinant un
peu plus. A tracé le circuit course à pied de Velleron
2004 et donc mérite pour cela tout notre mépris, toute
suggestion de vengeance étant la bienvenue. |
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Vincent
R : malgré un charmant
prénom et même s'il s'en défend, a atteint de nombreuses
saisons un niveau d'enfer à pied. Des tibias récalcitrants
l'auront pour son malheur contraint à lever le pied mais je le
soupçonne d'avoir plus que des restes, surtout sur le souple
à la Calade. Encore un pour calmer Jé et le saltimbanque.
Pas d'excuses en tout cas, il habite à 53 m du stade. |
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